Innocente ou sorciére?

Mahaut marchait dans l'artére principale de la ville. Elle etait vétue d'une robe rouge sans traine. Elle portait egalement une longue cape noir à capuchon. Elle avait d'ailleure rabaisser se capuchon sur sa tête, cachant son visage. Elle marchait d'un pas presser vers la place des suplices. Elle avait entendue parler d'une sorciére s'etant fait arreter, son execution devait avoir lieu aujourd'hui... Il n'etait nullement question d'aller regarder une congénaires se faire envoyer à la mort mais bien de verifier si ces accords avec Dinin etaient bien respectés.

Car elle n'avait pas autorisé d'arrestation ces derniers jours... Si l'inquisition avait bel et bien attrapé une sorciére, cela couterais cher à l'inquisiteur... Peut-être la mort de quelques uns de ces homme ou un pillage d'eglise... Elle laissa sont esprit vagabonder sur la question alors qu'elle marchait d'un pas préssé, évitant avec enormement de talents les mandiants. Elle ne passait que devant les assasins deguiser en mandiant. Elle avait apprise à les reconnaitre à force de faire des affaires avec eux.

Elle arriva enfin sur la place des suplices qui avait vus s'eteindre bien plus d'innocent que de sorciére depuis que Mahaut etait montée au pouvoir de la confrerie des sorciéres. Il y avait tout un atroupement de gens venus pour voir mourir la maudite. Elle rabaissa son capuchon, laissant aparaitre ces traits fin et commença avancer dans la foule. Les personnes venues pour voir les flammes s'élevée du bucher s'écratérent en reconnaissant la concélliére du roi. Ce titre lui permetait de ne pas se faire accuser de sorcellerie et de bénéficier d'une lace confortable dans le société sans oublier le respect que lui vouaient le citoyens.

Une fois parvenue en dehors de la foule, elle regarda le bucher devant elle. Un frisson lui parcourut le corps lorsqu'elle regarda la strucure. Dinin etait evidement présent et regardait la scéne d'un oeil divertis. La malheureuse etait deja attacher à la structure de bois. Le bourreau alluma la torche et mis le feu au bucher. Mahaut examina la personne comdamnée, elle ne fesait pas partie de son cercle. Elle tourna la tête vers l'inquisiteur et hocha la tête d'un ait entendu. Elle regarda les flammes s'elevées et écouta les cris de la victime. La jeune meneuse adorait entendre les cris de souffrances d'innocent.

Puis, le rituel habituel se deroula sous ces yeux, un prêtre demanda - pour le sois-disant salut de son âme- de denoncer un fidéle de Satan. Un sourire se dessina sur les lévres de la concélliére lorsque l'innocente jeune femme cria le noms d'une autre innocente qui finirait sans doute par y passer à son tour. Mahaut tourna la tête vers la foule et vis une paysanne partir au triple galop. Elle devait-être la femme concernée. Encore une qui n'avait pas de chance.

Le regard de la jeune sorciére se braqua à nouveau sur les flammes. Aucune sorciére n'avait jamais bénéficier d'une situation comme celle de Mahaut. Elle vivait dans le palais royal, avait le roi et l'inquisiteur en poche et un accord avec les assasins. Que rever de mieu pour faire subsister les sorciéres? Lorsque la chaleure devint trop insoutenable pour la jeune sataniste, elle recula de quelques pas et tourna la tête vers Dinin qui semblait jubiler sur la douleure de l'innocente. A présent, les cris s'etaient tus, un grand silence regnait sur la place et le corps maintenant inerte finissait de se conssumer au contact des flammes. Le bruit revint petit à petit alors que certaines personnes s'en allaient, jugeant le spectacle finit.

Mahaut s'avança vers le bucher alors qu'il ne restait presque rien du corps de la jeune victime. Elle alla à la rencontre de Dinin et lui indiqua de venir s'assoir avec elle sur un banc. Elle marcha jusqu'a banc sans regarder si son amis d'enfance la suivait. Elle s'assit et observa l'inquisiteur s'assoir à son tour. Elle poussa un soupir et tourna la tête vers son ami.

"C'est toujours aussi amusant de voir une innocente mourir?" Questiona-t-elle, s'assurant que personne ne saurait les entendre. "J'ai bien faillit croire que tu avait rompu notre pacte..."

Geoffroy regardait l'execution du haut du toit où il avait l'habitude de se poster pour qu'on ne le repère pas. Le bucher se déroulait comme d'habitude mais un incident parvient. La " sorcière " dénonça une dame qui faisait parti des assassins en l'ocurence sa tendre épouse du surnom de la Rose noir. Voyant une femme partir de la foule assez rapidement il se douta que c'était elle.

Il commencça à la suivre par les toits. Après un certains de temps de poursuite , environs dix minutes , il lui sauta dessus simulant un assassinat.

" Tu as le diable aux trousse notre sorcière ?" Dit-il sur un ton moqueur et ironique. " Bon serieusement les inquisiteurs sont à tes trousse tu devrais te réfugier dans la veille église en attendant que j'arrange tout "

Elle hocha la tête en signe d'approbation . Il l'embrassa avant qu'elle ne reparte se réfugier . Il se dirigea vers la place des supplices pour y voir Dinin ou le roi Richard mais la place semblait vide. Revoyant le bucher il s'interrogea si cette femme avait donner se nom par pur hasard ou si c'étais un acte prémedité. Il allait tenter dans savoir plus mais le plus important était que sa compagne soit en securité . Il fallait donc qu'il trouve le roi ou Dinin.

Qu'elle belle journée s'annonçait là... Une execution au bucher... Demaon, ce sera le tour du lac et de la pierre. Si elle flotte, au bucher, si elle coule, ben, elle coule... Dinin s'apprêtait dans ses appartement privé. Aujourd'hui, il serait en présence du peuple pour l'élimination de la prétendue sorcière. Il garderait donc ça cape.

Quel plaisir ça avait été d'observer son boureaux et ses juges torturer la jeune femme qui ne savait rien du tout. Cette fois si, elle avait craqué plus vite, au bou d'un jour, elle prétendait déjà être une sorcière. Mais bon, passons. Sous sa cape à capuchon rouge qui le désignait parfaitement, il sortit le plus tranquillement du monde de l'église et ce rendit à la place comme si il allait y faire ses courses.

Il s'avança lentement vers le buché et observa le corps meurtri de la jeune femme, elle n'avait pas eu de chance, c'est tout. Mais si il ne brulait jamais de sorcière, le peuple ne sera jamais en sécurité, d'autan plus que les sorcière n'arrêtait pas pour autan de recruter des gens du peuple la veille du Sabbat. Il poussa un long soupire. Ci ça ce passait comme d'habitude, Geoffroy ne devrait pas être loin, Mahault non plus.

Il n'aura probablement pas de réponse pour l'assassin mais le peuple s'écartait déjà pour laisser place à la noble conceillère du roi. Un sourire ce dessina dans l'ombre de son capuchon. Quel bande de naïf... Il regarda le bucher et fit un signe positif de la tête, ce dernier alluma le feu sur le bucher tandis que Dinin reculait à cause de la chaleur des flammes.

Comme d'habitude, il était entouré de moines guerriers pour le protéger des assassin mais si il savait qu'il n'avait rien à craindre, le peuple, lui, l'ignorait. En tout cas, comme d'habitude, il y eu tout le patata qui dénoncait une autres pseudo sorcière et patati et patata. Dinin ce foutait pas mal mais faisait comme si il y prétait attention. Mais en réalité, il observait et écoutait la victime crier à plein poumons dans "les flammes de Dieu" comme dirait un bon prètre.

Il croisa le regard de Mahault et aussa simplement les épaules. Ce serait plus drôle avec de vrai sorcière, pas des gens du peuples... Si seulement la sorcière ne lui avait pas interdit sous contrat d'en prendre une de temps à autre... Une fois les cris éteind et le corps conssumé, la foule ce dispersa. Mahault le rejoignit. D'un signe de main, il fit signe à ses moines de les laisser.

Il suivit son amie jusqu'à un banc. Son regard petillait d'un amusement certain mais personne ne pouvait le voir sous son capuchon rouge. Quesqu'elle pouvait être rabat joie. En tout cas, si lui ne rammenait pas de vrai sorcière, il risquait de perdre sa place. Une chance que de son côté, Mahault faisait en sorte que les sorcière n'attaque plus les moines qui s'aventuraient dans la forêt et ne maudissait plus les gens de l'église. Il poussa un long soupire de lassitude.

"Dit ça à d'autre... Si je ne donne pas de vrai sorcière de temps en temps au peuple, je risque de perdre mon grade... Tu devrais me donner une permission de temps à autre..." dit il l'air grognon "Franchement, à un moment j'ai ésité à rompre le contrat du sais... Pendans que nous ramons avec des innocents, les sorcier prolifèrent de ton côté... Tu devrais vraiment m'en passer un ou deux de temps en temps... Je te promet de ne pas lui demander de nom..." dit il, fixant les yeux de son amie.

Zolf avait passé le début de la matinée dans son bureau à remplir de la paperasse et à écouter des civils lui raconter des fables sur les sorcières. Il détestait ça, mais c'était le prix à payer pour son statut de juge, qui lui conférait un grand pouvoir et une grande liberté d'action. Il rongeait son frein, l'affaire qu'il menait en ce moment était délicate, et il savait d'avance que cette conseillère royale bornée allait géner ses plans, mais il n'y pouvait rien, l'affaire était urgente, si il ne mettait pas fin à cette série de rapt d'enfants par les sorcières, la ville allait s'embrasser, et les habitants allaient massacrer eux même toute les femmes suspectes, et se serait catastrophique. Les cloches de la cathédrales voisines sonnèrent, lui rappelant qu'il devait aller assister au bucher d'une sorcière. Il se leva, s'apprêta, et quitta les batiments de l'inquisition sur un cheval, escorté par deux colosses avec d'énormes marteaux, juchés sur des chevaux énormes. "Les marteleurs", c'est comme ça qu'il appelé les inquisiteur comme eux, la dernière fois, des collègues à eux avait fait s'éffondrer une maison sur une suspecte en frappant les murs à coup de marteaux de combat. Il arriva sur la place du bucher, et monta l'estrade pour rejoindre sa place, il observa le bucher avec indifférence.
"Peuh, une sorcières de temps en temps. C'est à croire que l'inquisition n'était bonne à rien, même lui, pourtant considéré comme l'un des meilleurs juge ne parvenait pas à en attraper depuis des mois, à croire que par divination, elle anticipaient leurs actions.
En scrutant la foule des dignitaires, il remarqua le grand inquisiteur et la conseillère Mahaut, et aussitôt, un plan germa dans son esprit. Son statut de juge lui permettait de le mettre en application. Il se dirigea vers les deux hauts dignitaires.
Arrivé devant eux,il se composa un visage aimable et dit : Bonjour votre Sainteté, Haute dame, c'est toujours un honneur de vous rencontrer. Je me permet d'interrompre briévement votre conversation, mais je dois m'entretenir avec vous d'une affaire urgente. Nous savons qui se cachent dérrière cette série de rapt d'enfants dans la capitale, et nous les avons localisé. Il s'agit d'un groupe de sept sorcières, qui semblent être assez puissante, vue la compléxités des enlèvements. Pour les capturer, je sois dépècher une troupe conséquente d'inquisiteur, et les lois exigent que je remplisse certaines formalités, les dernières étant que je mettre au courant sa Sainteté et le pouvoir royal. J'ai déja envoyé les dépèches, mais elles ont l'étrange habitudes de disparaitre mistèrieusement dans vos services.
C'est assez génant quand il s'agit de la traque des sorcières, dit il avec un ton teinté légèrement d'ironie.
Maintenat, je vais vous laisser, des préparatifs m'attendent si je veux arrêter au plus vite ces enlèvements, d'ailleurs, je ne vois pas qui ne le voudrai pas n'est ce pas, ce serait ridicule.
Et il parti, avant que la conseillère est eu le temps de lui répondre et d'essayer d'entraver ses projets. Il jubilait intérieurement, maintenant, il allait pouvoir saisir ces adoratrices du démon, et la conseillère ne pourrait rien lui reprochait étant donné qu'elle était maintenant au courant, et qu'il avait présenté l'affaire comme une évidence. Elle ne pourrait pas se permettre de le géner surtout avec sa dernière tirade. De toute façon, il se devait d'intervenir, quatre orphelins, trois enfants du peuple, et même le fils d'un notable, enlevé dans une pièce difficilement accessible. Il quitta la place, espérant que le grand inquisiteur ne lui reproche pas trop son intervention, et se fichait comme une guigne de l'avis de la conseillère.

Dinin attendait une réponse de la sorcière. Il attendait surtout une autorisation pour un petit massacre de sorcière... Voyant que Mahaut réfléchissait, il enlassa les doigts de ses mains comme signe de prière, histoire qu'on ne ce pose pas trop de question sur de quoi ils discutaient. Il porta son regard tout autour de lui. Ses yeux camouflé par l'ombre de sa capuche parcoururent la place, observant les gens, uns à uns quitter la place où le feu commençait doucement à disparaitre.

Son regard ce posa alors sur un personnage imposant, sans même voir son visage, il reconnut le roi Richard, surement grâce à son marteau de guerre qu'il ne quittait presque jamais. Le roi s'enfonça dans les rues sombres, il devait surement parler à Geoffroy... Il fut interrompu dans son résonement par une voix qu'il connaissait malheureusement.

Tandis que son regard emeraude ce tourna vers Zolf, les pensées fusaient de toute par dans son crane. Il commença à analyser le comportement du juge, le connaissant un peu, l'inquisiteur savait qu'il faisait rarement quelque chose pour rien. D'ailleur il était évident qu'il ai l'envie de prendre sa place. Pourquoi venait il parler de sorcière devant la haute court du roi? Avait il des soupsons sur Mahaut? Par reflexe, il posa un doigt sur le bras de Mahaut, tournant son regard vers elle. Ne connaissant pas leur lien, on pourait presque dire qu'il demandait silencieusement à la conseilaire de ne pas ébruité l'affaire mais il lui demandait surtout de ne pas réagir, de ne faire aucun geste pouvant la trahir. Il y avait beaucoups de cas étranges dans l'inquisition, il en était la preuve vivante.

Il reporta son attention sur Zolf et l'observa partir. Il plissa légérement les yeux, éseillant de percer le raisonnement du juge. Son regard retourna sur Mahaut. Dorénavent, ils devraient tous faire gaffe à où et quand ils ce parlent. Si l'inquisition venait à apprender qu'il avait des lien avec la chef des sorcière, il allait passer à la trape, avec comme seul espoir de s'en sortir, un billet pour un royaume voisin ou pour la sorcellerie.

"Il faudrait que nous commencions à faire gaffe aux endrois où nous parlons de choses privées Dame Mahaut..." dit il d'un ton respecteux au cas ou on les épiait. "J'ai un entrainement avec le roi de prévu. Vous me ferrez bien l'honeur de vous joindre à nous pour observer nos compétence très chère Dame?" demanda-t-il le plus respectueusement possible. En réalité, il voulait surtout retirer sa capuche qu'il ne retirait jamais en publique car il appréciait que Mahaut lise ses expretion sur son visage, surtout car il n'aimait pas lui cacher des choses.